- 28 avril 2017
Maurizio Pollini
Frédéric Chopin, Deux nocturnes Op. 27, Ballade N° 3, Ballade N° 4, Berceuse Op. 57, Scherzo N° 1 - Claude Debussy, Préludes (livre II) // Rappels : Debussy, La cathédrale engloutie - Chopin, Scherzo N° 3, Ballade N° 1
Philharmonie de Paris
Maurizio Pollini, fabuleux. Maurizio Pollini, un tout jeune homme de soixante-quinze printemps dont les mains virevoltent prodigieusement. Maurizio Pollini qui illumine Chopin et Debussy devant un parterre éberlué. Maurizio Pollini, une technique incroyable totalement dédiée à ces flots d'émotion dont il nous abreuve avec générosité. Maurizio Pollini, quand il chantonne avec son piano, on dirait presque un môme qui s'amuse de la vie et des choses. Maurizio Pollini, deux heures durant, nous émerveille à chaque instant. Maurizio Pollini qui offre à Paris trois rappels - de très haute technicité. Maurizio Pollini qui nous quitte, Lila, moi, et les autres, sur une standing ovation amplement méritée. Maurizio Pollini, grande maestro !
DK, le 29 avril 2017
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