Webern/ Schumann / Boulez
Daniel Barenboim à la baguette et au piano pour ce concert placé sous l égide de Boulez avec sur Incises qui s'avère une pièce dynamique et rythmée, complexe comme l' explique Barenboim avant de nous proposer en supplément de programme et en introduction la pièce Incises pour piano seul. Avec ses trois pôles de percussions, harpes et pianos sur Incises est une agréable surprise que la salle presque pleine a salué avec justesse.
Mais c' est l enchanteur Quintette pour piano et cordes n°44 de R. Schumann et son deuxième mouvement in modo d'una marcia très habilement interprété qui m'a transporté et baigné dans une sérénité rare. La musique s' impose comme une magistrale source d'apaisement... provisoire mais intense.
Retour en solitaire à la philharmonie de Paris donc, avant je l'espere de nombreux duos avec Davou cette saison!
F. Bons
1 commentaire:
Pour paraphraser Léo F., la sérénité, c'est de l'angoisse qui se repose. Bon retour, Frédo Bons !
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